Burundi: Les contributions forcées continuent et la liberté d’entreprise se rétrécit

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Les droits économiques au Burundi se trouvent à l’épreuve du déni de justice.

Les injustices sociales, lesassassinatset leharcèlement contre les hommes et femmes d’affaires, le comportement criminel des Imbonerakure et des policiers, les exigences de contributions forcées, les rançonnements, la corruptionet le phénomène d’usuresont le lot quotidien des Burundais.

Ce rapport du mois de janvier 2021 s’articule autour dequatre chapitres. Le premier parle du contexte économique qui est caractérisé par des injustices sociales, et parfois des crimes de sang dirigés contre des investisseurs économiques.

Le second rapporte des faits de contributions forcées, de rançonnements, de corruption et d’usure dit «Kumena amaso» en Kirundi.L’avant dernier chapitre aborde des cas récurrents de spéculations sur fonds decorruption sur le commerce du ciment,BUCECOet le dernier s’appesantit un peu sur les défis qui hantent encore et toujours le secteur de l’enseignement public dont l’Université du Burundi.

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