Avec un gouvernement qui se soucie peu de ses citoyens, la population burundaise est en proie à presque tous les maux. Le pouvoir d’achat de la population est au plus bas, et les conflits essentiellement fonciers deviennent de plus en plus fréquents.
Les conflits fonciers sensibles au genre se posent avec acuité devant une administration judiciaire des moins genrée.
Le mois d’août 2024 a été caractérisé par un monitoring des violations des droits humains dans leur globalité, avec un accent particulier sur les conflits fonciers sensibles au genre, ainsi que les expropriations foncières abusives.