Le Gouvernement du Burundi impose des prix des produits de base en violation flagrante de la loi de l’offre et de la demande

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La situation des droits économiques et sociaux au Burundi reste sujete au contexte politique dominé par des comportements de violences d’Etat. Des injustices sociales demeurent le lot quotidien des Burundais. Des mesures politiques déplacées sont à l’origine des tensions au sein des communautés.
Le rapport de ce mois de juillet 2021 revient sur les effets devastateurs et discriminatoires de la mesure de destruction des maisons et boutiques construites à moins de 6 mètres des routes nationales et des quartiers vialibilisés. Il relève notamment des cas de destructions méchantes de parmanences du parti CNL, des faits de spoliation de terres, et de détournements de fonds publics, de menaces de licenciements abusifs et de violences administratives et policières sur les propriétés privées.
Au niveau du deuxième chapitre, le rapport aborde le point des demandes réccurentes des contributions financières forcées que le citoyen burundais considère comme un fardeau très lourd dans un contexte de pauvreté généralisée.
Aux chapitres trois, nous dénonçons la politique de fixation fantaisistes des prix de certains produits dans le déni de la loi de l’offre et de la demande. Cela concerne certains produits alimentaires, les produits de la BRASSERIE, le ciment et le sucre actuellement objets de trafic d’influence, d’exportation illégale et dont la production ne peut plus satisfaire la demande intérieure.
Nous revenons au niveau du dernier chapitre sur la gestion controversée de la pandémie de Corona Virus au Burundi pour déplorer les contradictions et l’irrésponsabilité qui caractérisent l’autorité politique publique.

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