La situation des droits de l’homme en général et des droits socio-économiques en particulier ne cesse de se dégrader au Burundi. Les violences et les injustices de tout acabit se déroulent au Burundi au nom du Président Pierre Nkurunziza qui veut se maintenir vents et marais à la commande du pays.
Les jeunes miliciens Imbonerakure érigés en un instrument politique de répression contre les opposants politiques quadrillent le Burundi et imposent un pouvoir politique de la terreur et de la violence. Nous décrivons le contexte de violences et de violations de droits de l’homme qui a régné pendant cette période de février 2019, caractérisé par des assassinats, des tortures, arrestations et détentions arbitraires et des injustices de toute nature, dans l’impunité la plus totale des auteurs qui sont plutôt choyés par le régime de Pierre Nkurunziza.
Le contexte est en plus caractérisé par des contraintes de contributions financières qui prennent des formes de plus en plus variées, ce qui révolte la population burundaise qui n’ose plus contester quoi que ce soit de peur d’être emportés par la machine répressive et oppressive plus puissante que le pays ait connue jusqu’aujourd’hui. Cette machine répressive et oppressive met le pays dans un désordre complet qui met en mal tous les secteurs de la vie du pays dont notamment les secteurs de l’éducation et de la santé.
Tout semble justifier notamment que le mal a pris le dessus sur le bien, les antivaleurs sur les valeurs. L’injustice sociale étant devenue un mode de gouvernance nourri et entretenu par le régime du Président Pierre Nkurunziza.