Burundi: Les ambitions personnelles du Président Pierre Nkurunziza plongent le pays dans l’anarchie et le terrorisme d’Etat

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Poussé par la peur de ne pas réussir son ambition de se maintenir au pouvoir, Pierre Nkurunziza installe un terrorisme d’Etat et cherche à s’imposer à tout prix. Ainsi, prévaut la loi de la jungle au Burundi. En témoigne : la milice Imbonerakure fait la loi partout dans le pays pour contraindre la population burundaise à se plier aux aspirations du régime dictatorial en place.

Elle intimide, divise et malmène les citoyens pour faire régner la peur et décourager toute opposition au régime.
Dans cette situation d’anarchie politique et institutionnelle, des entraînements paramilitaires, des violences et des crimes pré-référendaires, des recrutements sur base de critères politicoethniques et une politisation continue de tous les secteurs de la vie, surtout le secteur de l’éducation et de la santé ont caractérisé cette période du rapport.
Le référendum de la constitution continue à être un alibi pour réprimer les opposants ouverts ou présumés du régime de Pierre Nkurunziza. Ce dernier a mis de côté toutes les autres préoccupations liées au développement de la nation au profit des élections fantaisistes qui ne visent que l’intérêt d’un seul homme au pouvoir depuis 2005.
La situation socio-économique souffre ainsi de ce contexte défavorable et nuisible que le régime a imposé au peuple burundais qui se trouve aujourd’hui en mal de vivre.
Au premier chapitre, le FORSC met un exergue le contexte général de violences et de violations de droits de l’homme défavorable à l’activité économique des ménages.

Il démontre ensuite que le droit au travail est fortement entamé par la volonté de Pierre Nkurunziza de discriminer une partie de la population pour se créer des sympathies dans la catégorie des militants de son parti ou leurs alliés aux deux chapitres suivants, le FORSC met un accent particulier sur la situation des droits à l’éducation et à la santé qui sont minés par le laisser pour compte et la politisation à outrance décidée en priorité par le régime de Pierre Nkurunziza.

Au dernier chapitre, le FORSC rapporte d’autres faits de mauvaise gouvernance qui ont caractérisé la période concernée par le rapport.

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