Un homme du nom de Libère Ndayiragike,tué par son demi-frère Méchaque Minani Alias Seremani, fait monter une grande tension autour de l’impunité présumée du crime commis. A l’origine, un conflit foncier entre deux fils de lits différents. Le conflit foncier aurait éclaté alors que la victime tentait d’empêcher son agresseur d’abattre un arbre lui appartenant car se trouvant dans une propriété foncière lui revanant.
Soudainement, la victime Libère Ndayiragike a été violemment battu puis étranglé à mort en date 24/4/2024 à Kavumvu, sur la colline Rushemeza, en commune et province Bururi par son demi-frère. Le drame familial s’est transformé en affaire judiciaire hautement sensible. Selon plusieurs sources locales, un habitant de la colline Rushemeza, dans la localité de Kavumvu, a trouvé la mort sur-le-champ après avoir été battu et étranglé par son demi-frère.
Alors que la population réclame justice, des doutes planent sur une éventuelle impunité liée à son appartenance politique du fait que présumé auteur (Méchaque Minani) est un responsable local des jeunes Imbonerakure.
Des témoins sur place rapportent que la scène s’est déroulée en plein jour et sous les yeux de certains riverains. Le choc est d’autant plus grand que le présumé meurtrier est connu dans la localité comme étant un dirigeant des jeunes Imbonerakure, la ligue des jeunes affiliés au parti au pouvoir, le CNDD-FDD. Une partie des habitants de Kavumvu exprime déjà sa crainte : que la justice ne soit pas rendue de manière équitable. Certains accusent les autorités de vouloir couvrir l’auteur présumé en raison de ses liens politiques. « Il a été arrêté, mais nous craignons qu’il soit relâché discrètement et sans délais sous pression de ses proches influents », murmure un habitant sous couvert d’anonymat.
De son côté, l’administrateur communal de Bururi, Félixis Niyongabo, confirme la véracité du drame et l’arrestation du suspect, qui est actuellement détenu au cachot du commissariat provincial de la police à Bururi. Cette autorité communale appelle la population au calme et à éviter toute justice populaire. « Nous exhortons la population à toujours privilégier la voie judiciaire en cas de conflit », a-t-il déclaré.
Alors que l’enquête suit son cours normal, les habitants de Kavumvu restent mobilisés pour demander à la justice de faire preuve de fermeté et de neutralité, afin que ce crime ne reste pas impuni.
Soudainement, la victime Libère Ndayiragike a été violemment battu puis étranglé à mort en date 24/4/2024 à Kavumvu, sur la colline Rushemeza, en commune et province Bururi par son demi-frère. Le drame familial s’est transformé en affaire judiciaire hautement sensible. Selon plusieurs sources locales, un habitant de la colline Rushemeza, dans la localité de Kavumvu, a trouvé la mort sur-le-champ après avoir été battu et étranglé par son demi-frère.
Alors que la population réclame justice, des doutes planent sur une éventuelle impunité liée à son appartenance politique du fait que présumé auteur (Méchaque Minani) est un responsable local des jeunes Imbonerakure.
Des témoins sur place rapportent que la scène s’est déroulée en plein jour et sous les yeux de certains riverains. Le choc est d’autant plus grand que le présumé meurtrier est connu dans la localité comme étant un dirigeant des jeunes Imbonerakure, la ligue des jeunes affiliés au parti au pouvoir, le CNDD-FDD. Une partie des habitants de Kavumvu exprime déjà sa crainte : que la justice ne soit pas rendue de manière équitable. Certains accusent les autorités de vouloir couvrir l’auteur présumé en raison de ses liens politiques. « Il a été arrêté, mais nous craignons qu’il soit relâché discrètement et sans délais sous pression de ses proches influents », murmure un habitant sous couvert d’anonymat.
De son côté, l’administrateur communal de Bururi, Félixis Niyongabo, confirme la véracité du drame et l’arrestation du suspect, qui est actuellement détenu au cachot du commissariat provincial de la police à Bururi. Cette autorité communale appelle la population au calme et à éviter toute justice populaire. « Nous exhortons la population à toujours privilégier la voie judiciaire en cas de conflit », a-t-il déclaré.
Alors que l’enquête suit son cours normal, les habitants de Kavumvu restent mobilisés pour demander à la justice de faire preuve de fermeté et de neutralité, afin que ce crime ne reste pas impuni.
