Dans le site de Musenyi, situé dans la commune de Giharo, province de Rutana, une tragédie silencieuse se déroule sous les yeux du monde. Huit enfants réfugiés congolais âgés de moins de cinq ans ont déjà succombé à la malnutrition en seulement deux semaines. Cette situation alarmante met en lumière l’urgence humanitaire qui frappe ce camp, où une grave pénurie de vivres et de soins médicaux menace de s’aggraver.
Les réfugiés congolais de Musenyi sont confrontés à une détérioration dramatique de leurs conditions de vie. La nourriture, en particulier les aliments essentiels à la croissance des enfants, est de plus en plus rare, aggravant les carences nutritionnelles. Selon une source médicale sur place, la majorité des enfants souffrent de déficits sévères en nutriments, les exposant à divers problèmes de santé.
Outre le manque de nourriture, l’absence d’abris adéquats et l’exposition aux aleas climatiques comme le froid viennent empirer une situation déjà critique. Les maladies respiratoires sont devenues monnaie courante dans le camp, particulièrement chez les petits enfants qui sont les premières victimes de cette crise.
Face à cette triste réalité, ces réfugiés lancent un cri d’alarme aux organisations humanitaires. « Nous sommes à bout de forces, le risque de décès en masse est imminent », témoigne un réfugié profondément désemparé.
Une autre source sur le site confirme les décès, tout en suggérant que certaines pertes pourraient être dues à d’autres maladies naturelles. Cependant, cela ne diminue en rien l’urgence d’une réponse humanitaire immédiate.
Le drame qui frappe le camp de Musenyi rappelle l’impératif d’une mobilisation rapide des acteurs humanitaires. Sans vivres, sans soins médicaux ni couvertures pour se protéger du froid, les réfugiés restent dans une situation de survie précaire.
Il est urgent que les organisations nationales et internationales prennent des mesures concrètes afin de limiter les pertes humaines et d’assurer à ces populations vulnérables un minimum vital. Sans une intervention rapide, le bilan pourrait s’alourdir tragiquement dans les jours à venir.
La communauté internationale doit entendre cet appel au secours et agir sans délai pour éviter que cette crise humanitaire ne tourne à la catastrophe.
Les réfugiés congolais de Musenyi sont confrontés à une détérioration dramatique de leurs conditions de vie. La nourriture, en particulier les aliments essentiels à la croissance des enfants, est de plus en plus rare, aggravant les carences nutritionnelles. Selon une source médicale sur place, la majorité des enfants souffrent de déficits sévères en nutriments, les exposant à divers problèmes de santé.
Outre le manque de nourriture, l’absence d’abris adéquats et l’exposition aux aleas climatiques comme le froid viennent empirer une situation déjà critique. Les maladies respiratoires sont devenues monnaie courante dans le camp, particulièrement chez les petits enfants qui sont les premières victimes de cette crise.
Face à cette triste réalité, ces réfugiés lancent un cri d’alarme aux organisations humanitaires. « Nous sommes à bout de forces, le risque de décès en masse est imminent », témoigne un réfugié profondément désemparé.
Une autre source sur le site confirme les décès, tout en suggérant que certaines pertes pourraient être dues à d’autres maladies naturelles. Cependant, cela ne diminue en rien l’urgence d’une réponse humanitaire immédiate.
Le drame qui frappe le camp de Musenyi rappelle l’impératif d’une mobilisation rapide des acteurs humanitaires. Sans vivres, sans soins médicaux ni couvertures pour se protéger du froid, les réfugiés restent dans une situation de survie précaire.
Il est urgent que les organisations nationales et internationales prennent des mesures concrètes afin de limiter les pertes humaines et d’assurer à ces populations vulnérables un minimum vital. Sans une intervention rapide, le bilan pourrait s’alourdir tragiquement dans les jours à venir.
La communauté internationale doit entendre cet appel au secours et agir sans délai pour éviter que cette crise humanitaire ne tourne à la catastrophe.
